J'étais moi-même favorable à un moratoire – peut-être pas sur une durée aussi longue, car une ou deux années suffiraient – afin d'accompagner au mieux le lancement de la plateforme Okoo, à laquelle je souhaite un plein succès et dont j'ai pu observer la qualité des programmes. Se pose tout de même le problème de l'accessibilité à cette offre non-linéaire sur l'ensemble du territoire.