Par ailleurs, deux scénarios sont envisagés par les banques pour le report de six mois des échéances : dans l'un, les intérêts sont payés pendant cette période ; dans l'autre les intérêts sont reportés sur les échéances à venir à l'issue des six mois. Pourrait-on imaginer que ces intérêts soient calculés au taux actuel et non au taux en vigueur lorsque le prêt a été octroyé ? Les différences sont parfois significatives.