L'étude de la Banque de France montre que les secteurs de l'hébergement et de la restauration sont sinistrés.
Compte tenu de l'abondance des liquidités, de la chute de la consommation et des prix de l'énergie, existe-t-il un risque d'inflation au moment de la sortie de la crise ?
Toutes les dettes publiques vont exploser. Cette situation peut-elle entraîner, comme en 2008, une crise des dettes souveraines et de l'euro ?
Enfin, constate-t-on un morcellement des politiques publiques nationales susceptible de produire des effets de débordement négatifs, ou la coordination de ces politiques est-elle suffisante ?