Puisqu'il s'agit d'équipements en lien avec l'univers médical, pourquoi ne pas appliquer le taux réduit de 2,1 %, monsieur le rapporteur général ? Compte tenu des milliards de déficit qu'affichent en ce moment les États membres de l'Union européenne, on peut penser que la Commission serait encline à faire preuve d'une certaine souplesse.
Par ailleurs, si je comprends ce qui justifie d'exclure les gels du dispositif, qu'en est-il des tests de dépistage ? Ils ne seront pas tous distribués gratuitement…