Bien sûr.
Un taux de 2,1 % pourrait être appliqué, même si nous serions limite au regard de la réglementation européenne. L'Europe est en train de s'adapter à la crise, en particulier en termes de liberté budgétaire, et il peut également en être ainsi sur le plan fiscal. J'admets que le passage à 5,5 % est déjà une avancée mais il s'agit en l'occurrence du produit aujourd'hui le plus essentiel pour nos compatriotes. Son taux doit donc être le plus faible possible.