Il ne s'agit plus de croire, monsieur le rapporteur général. Les chiffres sont éloquents et ils nous disent que le chemin emprunté jusqu'ici n'est pas le bon. Il faut donc tout remettre à plat. C'est pourquoi nous réaffirmons qu'il faut, à la lumière de cette crise, examiner certaines mesures de façon plus sérieuse que vous ne l'avez fait en balayant ces amendements d'un revers de main.