Cet amendement fait porter le fardeau sur les titulaires des contrats : ce n'est pas un bon signal à envoyer aux Français qui souffrent de cette crise et qui ont besoin de stabilité fiscale pour envisager l'avenir.
Je saisis cette occasion pour rappeler que j'avais demandé à la présidente de la Fédération française des assurances de nous décrire les comportements des titulaires d'assurance-vie en monétaire et en unités de compte. J'attends toujours sa réponse.