La seule information dont nous disposons est qu'il s'agira d'entreprises stratégiques, pas forcément publiques. En tant que parlementaires, nous devrions être mieux informés. Ce matin, et à juste titre, Éric Coquerel a demandé si une entreprise de fabrication de pompes à oxygène, dans le domaine sanitaire, était concernée. Nous devrions connaître les lignes directrices. J'estime qu'a minima, le président, le rapporteur général et la rapporteure spéciale sur les participations financières de l'État, Valérie Rabault, devraient être tenus au courant.
Je le dis comme je le pense : mon expérience m'invite à nourrir la plus grande méfiance à l'égard de la gestion de l'Agence des participations de l'État (APE). Sur ces sujets d'une extrême importance, les parlementaires doivent être associés.