Je partage votre constat, monsieur Bricout : les ADMR n'auront pas d'argent à consacrer à des primes. Pourquoi ? Parce que les montants versés notamment par les départements ne sont pas souvent à la hauteur des besoins.
Nous devons travailler – nous avons d'ailleurs commencé – à une reconnaissance salariale de ces professionnels sur le long terme. Le rapport Libault sur la dépendance est très clair – une revalorisation globale des salaires est nécessaire –, tout comme l'a été le ministre Le Maire. C'est ce que nous allons faire.