Il faut distinguer deux types de festivals : ceux qui ont lieu avant le 15 juillet sont en quelque sorte protégés par l'interdiction ; ceux qui se dérouleront après sont exposés à un risque de faillite. Compte tenu du fort degré d'incertitude, nombreux sont ceux qui ont décidé d'annuler mais ils ne pourront honorer leurs dettes à l'égard des artistes, des sociétés de services, des équipes de sécurité. Les efforts doivent d'abord porter sur ces festivals se déroulant à compter du 15 juillet, si mal servis par le calendrier.