Il faut en tout cas que nous disposions du reporting sur l'état des crédits, qui a été demandé solennellement lors du premier projet de loi de finances rectificative, puis de nouveau par courrier au ministre. Nous devons aussi avoir une information précise sur la sinistralité, dont les assureurs nous disent qu'elle est plus importante en période de crise, ce qui n'est pas intuitif. Nous pourrions déposer un amendement commun demandant un rapport global sur le secteur de l'assurance.