Ce sont des cas spécifiques qui doivent être gérés par filière, tant il est vrai que les rémunérations dépassent rarement les 4,5 SMIC dans d'autres sports. Il faudra à la fois solliciter les sportifs et mutualiser l'effort financier dans le cadre des ligues et des fédérations. Ces professionnels ne seront pas les grandes victimes de cette crise et leur demander de diviser par deux leur salaire, comme l'ont fait certains clubs, n'est pas inacceptable.