Un large consensus semble se dégager pour considérer que, si les élections ne peuvent avoir lieu d'ici à l'été, il faudra reprendre le premier tour. Je préférerais que ce soit inscrit dès maintenant dans la loi. Cela nous permettrait d'acter le fait que, si l'élection n'avait pas lieu avant l'été, les opérations électorales des 5 000 communes concernées seraient recommencées. De fait, cela va créer une disparité de situations. Mais c'est le contexte qui nous l'impose. À force de regarder les événements se dérouler, on finit par perdre le fil du raisonnement. Puisque nous sommes d'accord sur ce point aujourd'hui, actons-le !