Votre amendement est satisfait : le droit de l'Union européenne s'impose quoi qu'il arrive aux lois et aux ordonnances prises par les autorités nationales. Par ailleurs, je ne pense pas qu'il soit question, dans le cadre de ce texte, de bouleverser l'économie du contrat de travail en réduisant drastiquement le droit au repos. Cela dit, je vous invite, une fois encore, à déposer de nouveau cet amendement en séance pour obtenir une réponse du Gouvernement.