Nous avons bien compris que ces technologies ne peuvent être l'alpha et l'oméga de la sortie de crise, mais que nous apprennent les courbes étrangères d'évolution de l'épidémie quant à l'intérêt de leur utilisation ?
Le fait que seule une partie limitée de la population puisse accéder à ces technologies ne risque-t-il pas de mettre en échec un tel dispositif ? Et ne serait-il pas plus judicieux d'harmoniser sa mise en oeuvre à l'échelle européenne ?
Enfin, comment pourrait-on utiliser ces données issues des enquêtes sérologiques et les articuler avec les autres mesures pour lutter efficacement contre le virus ?