Une telle application ne semble avoir d'intérêt que si une grande partie des Français a déjà été testée puisqu'elle repose sur l'historique des contacts. Combien de temps faudra-t-il pour tester 30 % de la population ?
Par ailleurs, je m'interroge sur les modalités techniques. Les données devront être stockées un certain laps de temps sur les terminaux mobiles. Qui accédera à l'historique ? Sera-t-il conservé par un tiers ? S'agira-t-il d'un opérateur privé, d'une autorité administrative indépendante, d'une instance relevant du ministère de la Santé, éventuellement soumise au contrôle parlementaire ?