Quel lien est envisagé entre l'application et la politique de tests ? Quelle est l'efficacité de l'outil si un dépistage massif n'est pas organisé ? Travaillez-vous avec M. Véran à l'élaboration de réponses communes ? Le système devrait être anonyme, mais son utilisation par de nombreuses personnes, qui conduira à l'accumulation d'un grand nombre d'informations, pourrait permettre l'identification des personnes contaminées, au risque de provoquer chez elles un deuxième traumatisme, lié au harcèlement dont elles seraient victimes. Quelles garanties apportez-vous ? Il faut s'assurer de la sécurité du système, mais aussi faire en sorte qu'il soit utilisé à des seules fins sanitaires, prévenant ainsi à la fois la cybercriminalité et les atteintes à la vie privée.