Au centre pénitentiaire du Gasquinoy, les tensions restent vives, à cause notamment de la suspension des parloirs et également de la diminution des trafics que cela implique. Des mesures sont-elles envisagées pour aider le personnel pénitentiaire, dont je salue le travail ?
Les extractions judiciaires posent un problème particulier, certains juges refusant de recourir à la visioconférence, notamment à Perpignan.
Enfin, l'avis émis par le chef d'établissement avant l'éventuelle libération d'un détenu de droit commun radicalisé est-il consultatif ou obligatoire ? La libération d'autres détenus de ce type est-elle prévue dans les jours qui viennent ?