- Je partage tout ce qui a été dit, mais je souligne que si l'on constate tous la nécessité du travail de sensibilisation, d'information et si les réseaux sociaux sont un formidable outil d'échange, et pas simplement d'information, on se rend compte que dans les arbitrages, c'est toujours celui qui est le moins bien loti.
On doit y faire attention dans les processus de préparation de la crise et de crise, si l'on veut que les gens soient adultes. Je pense que la population est prête aujourd'hui à participer activement. Il faut donc que ces sujets soient mieux priorisés. Cela va de l'école jusqu'aux interventions des cadres, y compris des entreprises.
À Rouen et au Havre, avec les « Nez bénévoles », des particuliers et des professionnels s'engagent pour participer à ces activités de surveillance et ces interventions. La question des moyens est peut-être posée de façon sous-jacente, mais c'est un vrai volet de l'action, et pas simplement un volet annexe comme peuvent parfois le laisser penser les arbitrages.