Comme l'a souligné M. Gosselin, et comme nous l'avons expliqué en commission, la date retenue dans cet article pour la fin de l'état d'urgence sanitaire n'est pas satisfaisante. Rien ne nous empêche de nous revoir tous les trente jours pour faire le point sur la situation – d'autant que celle-ci évolue très vite, comme nous venons d'en avoir la démonstration : alors qu'hier soir encore, nous n'avions pas les connaissances scientifiques nécessaires pour justifier d'autoriser à nouveau l'accès aux plages, le Premier ministre vient d'annoncer que leur réouverture était désormais possible…