Nous soutenons bien évidemment l'amendement no 378 . Cet effort de solidarité ne doit pas gommer les responsabilités, mais la situation est exceptionnelle et l'état d'urgence sanitaire exige que nous suspendions un certain nombre de procédures, notamment les procédures d'expulsion. Nous souhaitons la prolongation de cette trêve, qui n'a plus grand-chose d'hivernal mais correspond à des situations sociales bien précises, jusqu'à la fin de l'état d'urgence, fixée par le présent texte au 10 juillet.