Vous dites, madame la députée, qu'Emmanuel Macron « a mis le Parlement à la diète ». Donnez-moi un chiffre, un indicateur, une preuve qui vienne étayer cette affirmation : chiche !
La parole est libre dans cet hémicycle. J'ai été cinq ans à votre place et, à chaque fois fois que j'ai tenté d'affirmer quelque chose, c'est que je pensais être en mesure de le démontrer. Je vous mets au défi de pouvoir le faire aujourd'hui.
Vous avez, dans le même esprit, parlé de dépenses somptuaires quand je vous ai parlé, moi, de femmes et d'hommes qui, au quotidien, prennent des risques pour protéger la Présidence de la République : je parle du GSPR. Est-ce cela que vous appelez des dépenses somptuaires ? Je vous laisse la responsabilité de vos propos.