Cette seconde option serait lourde de conséquences dans le contexte d'une baisse du PIB estimée à 8 %.
La seconde question porte sur le budget 2021, dans lequel les crédits de la défense doivent bénéficier d'une hausse d'1,7 milliard d'euros. Dans la situation nouvelle où nous nous trouvons, estimez-vous que cet engagement sera difficilement atteignable ou qu'il doit être maintenu coûte que coûte, voire qu'il faut procéder à un effort supplémentaire, notamment pour soutenir nos industries stratégiques ?