Je vous remercie, monsieur le ministre. Par votre biais, je salue l'action de tous nos postes consulaires, qui font un travail exceptionnel, comme je l'ai constaté, sur le terrain.
Nous avons la chance de bénéficier de la puissance de ce réseau consulaire, qui fait monter nos compatriotes un par un dans les avions. Mais il faut aller plus loin, plus vite, et encore plus fort. Le travail n'est pas fini, il faut plus d'avions, plus de gros-porteurs, plus de bateaux, plus de solutions, parce qu'aujourd'hui, comme je le disais, la souffrance est là, et de psychologique, elle devient physique.