L'aplomb avec lequel vous avez posé votre question, madame Thill, laisse penser que vous avez déjà la réponse. Je vous propose donc que nous nous retrouvions à l'issue du débat pour que vous m'expliquiez comment les choses se sont passées et comment vous auriez géré la situation au cours des dix dernières années. Vous proférez un argumentum ad personam envers des personnes qui ne sont pas là et n'ont rien demandé ; c'est votre droit. Je vous ai répondu.