C'est le temps d'un baiser et de bien d'autres activités. Cela ne vous regarde pas, et que vous estimiez que cette information ne sera jamais communiquée n'y change rien. C'est ce que vous avez dit ici, monsieur le ministre Véran : il vous reste à vivre davantage pour savoir que l'on finit toujours par apprendre ce que l'on ne souhaitait pas voir divulgué. C'est ainsi et les risques sont là.