… à quoi aurai-je accès ? À presque rien. C'est là l'intérêt du projet élaboré par la France : pour que les informations accessibles soient intéressantes, donc dangereuses, pour qu'elles soient attentatoires aux libertés individuelles il faudrait que l'on collecte massivement, dans chaque téléphone, toutes les informations connectées. Or c'est matériellement impossible.
La question qui se pose aujourd'hui n'est pas de savoir si l'application est attentatoire ou non aux libertés individuelles.