Nous avons été alertés par les commissions médicales des cliniques et des hôpitaux sur les conséquences délétères de ces manques. Nous savons que la pénurie est mondiale, mais après les difficultés d'approvisionnement en masques et protections, souvent compensées par les collectivités territoriales, qu'allons-nous faire face à ce nouveau danger ? Nous comprenons que l'État tente d'anticiper une deuxième vague, mais que fait-on des interventions médicales déprogrammées ?