Nous entendons le souhait d'un grand nombre d'acteurs de participer à ces travaux, qui me réjouit car il montre les attentes et l'intérêt que suscite le Ségur de la santé. Le ministre a précisé que les membres du Comité Ségur national qui n'ont pas eu l'occasion de s'exprimer au moment de son installation pourront le faire lors des prochaines réunions, qui se tiendront chaque semaine. Comme la tradition le permet, des contributions écrites pourront alimenter la réflexion et l'élaboration du plan.
En parallèle, des sessions de partage d'expérience ont été lancées jeudi dernier, à Dijon : le ministère, dès le lancement de la concertation, a pris le parti de faire remonter des territoires les expériences, au plus près de ce qu'ont vécu les professionnels de santé depuis le début de la crise. C'est pour nous un élément central de la réflexion en cours, comme l'est la participation directe des professionnels grâce à une plateforme en ligne, disponible dans les prochains jours.