Vous avez raison sur l'analyse, monsieur le député Aubert, mais j'aimerais vous apporter deux précisions. La première est qu'en 2019, seulement 1 % des chèques-vacances ont été utilisés hors de France. Votre demande est donc quasiment atteinte, le chiffre étant négligeable. Il l'est d'autant plus, d'ailleurs, qu'il est celui de 2019, année antérieure à la crise sanitaire, laquelle conduira, j'imagine, les Français à moins se déplacer en Europe ou à l'étranger.
Et si l'on voulait néanmoins faire en sorte que ces 1 % utilisent les chèques-vacances en France, cela supposerait d'émettre de nouveaux titres, différents de ceux qui existent déjà. Des frais supplémentaires seraient ainsi engagés, et les délais allongés d'autant.
Cela ne me paraît donc pas utile : avis défavorable.