Déception et dégoût sont peut-être les mots qui décrivent le mieux ce que j'éprouve ce soir. La proposition de loi que j'avais faite aux députés partait d'un bon sentiment, et j'avais l'espoir que l'unité nationale tant réclamée débute au Parlement. Je ressens donc beaucoup de déception, car je pense avoir démontré depuis mon arrivée à l'Assemblée nationale que, s'il y a bien un député de droite qui n'est pas sectaire, c'est moi.