Nous avons donc pris des mesures pour plafonner ces frais d'incidents bancaires.
Mais nous devons aussi tenir compte, de l'autre côté, de la nécessité de protéger un certain nombre d'emplois. Il n'y a pas de bons emplois dans certains secteurs d'activité et de mauvais emplois dans les domaines de la banque et des assurances : les emplois, quels qu'ils soient, sont bons pour les Français et l'économie française, et doivent être défendus par toutes les mesures possibles.
Je rappelle que 360 000 Français travaillent aujourd'hui dans le secteur bancaire.