Le Gouvernement émettra un avis de sagesse sur cet amendement. Un souhait de souplesse s'exprime, mais les candidats aux élections consulaires comme leurs électeurs, les Français établis hors de France, doivent disposer d'une certaine visibilité. En effet, ce scrutin a déjà été décalé à deux reprises et il conviendrait que la troisième date arrêtée soit fixe. C'est la raison pour laquelle nous avons fixé cet horizon du mois de mai 2021, où nous espérons que la situation épidémique dans le monde permettra de tenir le scrutin dans les meilleures conditions. Le Gouvernement s'en remettra cependant, je le répète, à la sagesse de l'Assemblée.