Je tiens à souligner que cette proposition de loi procède d'une conviction que nous défendons avec notre coeur. Il y a en effet pour la nation une ardente obligation à éviter qu'une génération soit sacrifiée. Nous le disons depuis des semaines et le disions avant même que le débat ne soit sur la place publique, parce que c'est ainsi que nous le sentons et parce que cette question remonte de l'ensemble des territoires que nous représentons tous ici.