Monsieur Peltier, vous parlez du problème de la fraude sociale mais j'aimerais que vous évoquiez aussi celui du non-recours aux droits, sur lequel je travaille depuis le début du quinquennat. Aujourd'hui, le non-recours est beaucoup plus fréquent que la fraude. Je ne nie pas qu'il soit nécessaire de traiter ces deux problèmes mais il faut parler de l'un et de l'autre.