Vous avez évoqué l'émancipation par le travail. Mais, bon sang, depuis le début du quinquennat, notre ministre et la majorité travaillent en ayant à l'esprit cet objectif. Cependant, il ne faut pas se leurrer. En tant que vice-présidente de l'Union nationale des missions locales, je peux vous assurer qu'il existe tout un public de jeunes qu'on ne met pas au travail si facilement. Ces jeunes ont besoin d'un accompagnement, a fortiori en temps de crise.