Avec cette proposition de loi, notre idée n'est pas d'aider les entreprises mais d'aider les jeunes. Vous commettez donc, monsieur Zumkeller, ce qu'on appelait autrefois dans l'enseignement public français un contresens. Qu'ils entrent dans une entreprise de quarante-neuf ou de cinquante et un salariés, les jeunes doivent bénéficier de la même aide. Notre préoccupation, c'est l'emploi.
Madame la ministre, je perçois quelque chose d'intéressant dans vos propos. Vous avez dit que vous aviez besoin de temps pour réfléchir. Je le comprends, nous ne sommes pas à quelques jours près.