Monsieur Duvergé, je connais, moi aussi, les coiffeurs de Frévent : avant vous, j'ai été député de cette belle commune. Mais j'avoue avoir eu un peu de mal à suivre les méandres de votre raisonnement. J'ai surtout compris que vous étiez mal à l'aise, qu'au fond de vous-même vous auriez bien aimé voter en faveur de cette proposition de loi, mais que vous ne le pouviez pas, puisque vous faites partie de la majorité.