Pour le reste, je ne suis pas surpris que vous ne partagiez ni le constat ni la stratégie formulés par le Président de la République. En revanche, je sais que la situation actuelle exige des transformations majeures et non un quelconque apaisement. Elle impose que nous puissions faire face aux dangers qui nous menacent, à l'extérieur comme à l'intérieur, que nous fassions preuve d'une plus grande solidarité vis-à-vis des plus vulnérables et que nous réorientions notre production et notre consommation vers des axes qui soient compatibles avec la transition écologique.