… conduisant à une rupture consommée entre le ministre de l'intérieur et les forces de l'ordre.
Non, elles ne sont pas l'ennemi, bien au contraire, elles méritent notre respect, notre reconnaissance et surtout notre confiance alors que la parole présidentielle n'a pas été assez ferme en ce dimanche soir.
Comme de nombreux Français, je garde en mémoire, non sans une certaine émotion, les applaudissements au lendemain des attentats terroristes. N'étaient-ils pas destinés à ces mêmes forces de l'ordre, à présent clouées au pilori médiatique.