Vous êtes soumis aux Traoré et aux revendications anti-républicaines et violentes.
Si les attaques de quelques permanences de députés En Marche vous ont fait hurler à l'attentat, vous ne dites rien pour dénoncer les 110 agressions que subissent chaque jour nos policiers, nos gendarmes et nos pompiers. Alors qu'un policier se suicide tous les cinq jours dans le pays, vous tolérez des manifestations racialistes interdites où l'on crie « sales juifs » en appelant à « balancer des flics dans la Seine ». Quand, monsieur le ministre, allez-vous enfin partir ?