Or nous savons que cette crise va laisser de nombreuses femmes et de nombreux hommes sur le carreau. Vous ne pouvez donc pas réduire les crédits de l'IAE, tout comme vous ne pouvez pas laisser ce secteur sans réponse immédiate face au fléau du chômage dont le retour est annoncé. Ne cédez pas aux pressions de Bercy, et tenez les arbitrages que Mme Pénicaud avait obtenus lors de l'examen du projet de loi de finances !