Merci, madame Granjus, de cet amendement : il me permet de rappeler que le harcèlement, souvent associé à l'enseignement secondaire, concerne également le primaire. Cependant, il vise à confier une nouvelle responsabilité au directeur d'école, alors que cette proposition de loi a pour objectif d'alléger sa tâche. Par ailleurs, l'idée d'évaluation induit celle de hiérarchie ; nous voulons au contraire que le directeur demeure primus inter pares. Je ne veux pas minimiser l'importance de la lutte contre le harcèlement scolaire à quelque niveau que ce soit, mais l'avis de la commission sera défavorable.