Avec le présent amendement, nous affirmons que la formation ne doit pas relever de la compétence des directrices et directeurs d'école. En effet, la formation initiale et continue des professeurs des écoles est confiée à des personnels spécifiques : les enseignants des instituts nationaux supérieurs de professorat de l'éducation – INSPÉ – , les conseillers pédagogiques de circonscription – CPC – et les maîtres formateurs et inspecteurs de l'éducation nationale – IEN. Tous ont été formés pour cette tâche, qui n'incombe donc pas aux directrices et directeurs d'école, qui doivent par ailleurs faire face à une surcharge de travail.
Compte tenu de ce que nous avons entendu tout à l'heure, nous avons compris que rien n'était gagné concernant les décharges, et qu'il en était de même pour les accompagnements de décharge. On progresse, madame la rapporteure, puisqu'on vide la loi de son sens. Il ne reste plus que la hiérarchie, le titre et le tabac, et nous y serons !
Le 01/07/2020 à 21:03, Laïc1 a dit :
Maintenant il faut annoner aux élèves que les femmes et les hommes sont égaux, égaux dans le sens "pareils"...
Si tout cela n'est pas risible et ridicule.
Le 01/07/2020 à 21:01, Laïc1 a dit :
"En effet, la formation initiale et continue des professeurs des écoles est confiée à des personnels spécifiques : les enseignants des instituts nationaux supérieurs de professorat de l'éducation – INSPÉ – , les conseillers pédagogiques de circonscription – CPC – et les maîtres formateurs et inspecteurs de l'éducation nationale – IEN"
Ce ne sont pas des formateurs, mais des commissaires politiques dédiés à l'éducation, car de tout temps l'éducation est le produit de l'idéologie politique.
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui