Nous faisons le même constat : ce texte change peu de choses en profondeur. Toutefois, peut-être cette proposition de loi s'inscrira-t-elle comme une première étape dans la reconnaissance de la fonction très spécifique de directeur d'école.
Elle ne doit toutefois pas faire oublier tous les efforts que l'État et nous-mêmes devons consentir pour revaloriser, plus généralement, les métiers de l'enseignement.
L'amendement gouvernemental après l'article 2 nous a quelque peu surpris : nous devrons évaluer la mise en place effective de cette aide administrative par l'État, qui devra en prendre une grande part à sa charge.
Nous saluons toutefois la possibilité d'installer un conseil de vie écolière, qui est une disposition importante de la proposition de loi.