Soit nous parlons des violences conjugales – et nous en parlerons, car le texte prévoit précisément d'allouer des crédits budgétaires à la lutte contre ces violences – , soit nous parlons d'exonérations fiscales, comme l'a fait tout à l'heure M. Coquerel, et je réponds volontiers en expliquant que je ne souhaite pas leur fin abrupte, pour des raisons économiques liées au maintien de l'emploi.
Dans ce cas, vous allez dire que, puisque le rapporteur général et le Gouvernement ont donné un avis défavorable à votre amendement, ils s'opposent à la lutte contre les violences conjugales. C'est tellement facile !