Les amendements que je défends vous proposent une recette pour rembourser la dette. En effet, on prolonge la CRDS parce qu'on pense qu'il faut rembourser la dette sociale. Nous sommes d'accord pour que la CRDS y contribue partiellement, mais nous estimons que les multinationales peuvent aussi participer, grâce à une évolution de la niche Copé. Le premier amendement vise à augmenter le montant d'imposition des plus-values ; le second, no 1588, qui tend à limiter l'accroissement naturel du coût engendré par la niche Copé, provoqué par la baisse du taux d'IS que nous avons adopté au début du quinquennat, me paraît tout à fait raisonnable.