C'est pourquoi, madame le secrétaire d'État, le débat que j'ouvre avec cet amendement ne porte pas sur la TVA mais sur le recyclage, le réemploi et le soutien à la production française. N'utilisons plus pour nos pièces automobiles des matières premières venant d'autres pays, la Turquie par exemple, ou des métaux provenant de l'autre bout du monde, avec un bilan carbone très néfaste pour la planète.