La question est excellente, puisqu'il s'agit de lier l'utile à l'agréable, c'est-à-dire la réduction de l'empreinte environnementale à la production de proximité – de préférence française mais aussi européenne. Le seul point délicat, c'est que l'annexe de la directive européenne sur la TVA ne laisse aucune place au réemploi. Ce serait donc un sujet à défendre au niveau européen. À cet égard, je rappelle que le Gouvernement a réussi à faire bouger les lignes en dix-huit mois s'agissant de la directive plastiques : c'est du concret, pas des paroles.