Après la leçon de concision que vient de donner le président de la commission des finances, j'hésite à le défendre, mais, n'ayant pas encore pris la parole sur ce texte, je m'y risquerai tout de même.
C'est un amendement global, qui ne concerne pas les chaussures, les embrayages ou que sais-je, mais l'économie circulaire dans son ensemble. Nous en avions parlé en examinant la loi sur l'économie circulaire.
Je me souviens avoir défendu, en 2015, une proposition de résolution européenne relative au cycle de vie des produits et à l'économie des ressources. Elle soulignait la perte de souveraineté majeure que représente, pour l'Europe, la perte de ses matières premières stratégiques pour l'industrie.